Au choix : coup de projecteur sur la jeune scène latino-américaine, exposition consacrée aux codes de la masculinité, une autre aux corps noirs (The New Black Vanguard), et bien plus.
Après une année blanche en 2020, sans exposition, l’édition 2021 des Rencontres de la photographie d’Arles va, de nouveau, faire entrer la lumière du 4 juillet au 26 septembre. Pour Christoph Wiesner, le nouveau directeur du festival, cet été sera « celui des lucioles », en référence au texte de l’écrivain italien Pier Paolo Pasolini, qui, en 1975, déplorait la disparition des contre-pouvoirs face à un monde capitaliste et consumériste. Convaincu que la photo « permet d’ouvrir l’espace pour de nouveaux modes de résistance », le directeur des Rencontres convie, comme chaque année, des artistes du monde entier. Outre un coup de projecteur sur la jeune scène latino-américaine, une exposition consacrée aux codes de la masculinité et une autre aux corps noirs (The New Black Vanguard), le programme met aussi en avant le travail de Farah Al Qasimi, qui capture le quotidien des familles bourgeoises des Émirats arabes unis, ou celui de Stéphan Gladieu, de retour de Corée du Nord.
Morceaux choisis

Alexandra, Londres, 2020, série Solus de Pieter[…]