Dans ce huit clos, Ozon revisite la pièce et le film cultes de Rainer Werner, « Les Larmes amères de Petra von Kant » et y apporte sa touche personnelle.

Cette relecture d’une pièce et d’un film célèbres de Rainer Werner Fassbinder – Les Larmes amères de Petra von Kant – est logique : le prolifique François Ozon a toujours été hanté par l’énergie créatrice – et l’œuvre – du cinéaste allemand (mort en 1982). Au point de l’adapter très librement[…]